Il y a beaucoup de choses qui empêchent les Québécois de dormir la nuit, et les finances personnelles sont en tête de liste.

Un récent sondage de la Banque Scotia a révélé que 70 % des Québécois passent en moyenne 7 heures à s’inquiéter pour leurs finances personnelles. Les résultats montrent également que ce phénomène touche particulièrement les jeunes âgés de 18 à 34 ans, qui s’inquiètent en moyenne 12 heures par semaine, alors que les personnes âgées de 55 ans et plus ne s’inquiètent que 6 heures par semaine à l’échelle du pays.

La Banque Scotia présente aujourd’hui le Conseiller en sommeil de ScotiaConseils+, un ensemble d’outils dans le domaine du placement comprenant une ligne d’assistance et un centre d’information, pour aider les Canadiens à moins s’inquiéter de leurs placements et à mieux dormir. Ces nouveaux outils arrivent au bon moment pour contrer le lundi de la déprime, le moment de l’année le plus difficile pour bien des gens, où les nuits d’insomnie causées par le stress financier sont plus nombreuses.

Selon un récent sondage sur les préoccupations financières réalisé pour la Banque Scotia, trois Canadiens sur quatre (75 %) passent en moyenne 10 heures par semaine à s’inquiéter de leur situation financière. Les jeunes Canadiens de 18 à 34 ans sont particulièrement touchés, puisqu’ils s’inquiètent 12 heures par semaine en moyenne contre 6 heures par semaine pour les personnes de 55 ans et plus.

« Ça nous est tous déjà arrivé : il est 2 heures du matin et on est complètement réveillé, car on se demande si on investit assez pour son avenir. Savoir que les Canadiens, en particulier les jeunes Canadiens, font de l’insomnie en pensant à leurs placements est préoccupant. Nous avons donc créé les outils Conseiller en sommeil de la Banque Scotia pour que les Canadiens puissent avoir l’esprit tranquille, sachant qu’ils peuvent compter sur l’appui des conseillers Scotia, explique D’Arcy McDonald, premier vice-président, Paiements et Crédit non garanti, Banque Scotia. Nous savons que les Canadiens qui font appel à un conseiller sont moins susceptibles d’être préoccupés par leurs finances. La première consultation peut jouer un rôle indispensable pour les aider à dormir tranquille. »

Voici les nouveaux outils Conseiller en sommeil de ScotiaConseils+ :

  • Centre d’information : Qu’ils aient une question sur les REER, les CELI, les fonds communs de placement, les CPG ou d’autres types de placement, les Canadiens peuvent effectuer une recherche dans le Centre Conseils+ du site Web de la Banque Scotia, où ils trouveront une foire aux questions   et des articles réorganisés en fonction des étapes de la vie, afin qu’il soit plus facile pour eux de trouver les conseils les plus pertinents.
  • Ligne d’assistance : Les Canadiens ne devraient pas faire d’insomnie en pensant à leurs placements. Nous avons donc mis sur pied la ligne téléphonique 1-833-SLE-EEEP pour les aider à retrouver la sérénité financière et le sommeil. Durant le jour, ils peuvent appeler pour recevoir des conseils financiers par téléphone ou prendre rendez-vous avec un conseiller Scotia afin d’obtenir un Plan Conseils+ personnalisé. La ligne d’assistance réserve aussi quelques surprises pour rendre l’expérience moins stressante, comme des conseils de méditation uniques, le jour et la nuit. La nuit, les clients peuvent prendre un rendez-vous pour obtenir des conseils ou écouter une séance de méditation guidée si c’est ce dont ils ont besoin pour calmer leurs insécurités financières et s’endormir.

Un récent sondage mené par la Banque Scotia a révélé que la majorité des Canadiens évaluent leurs connaissances en matière de placements comme étant de base ou moyennes (64 %) et un peu plus de la moitié (56 %) peuvent expliquer avec assurance la différence entre un régime d’épargne-retraite (REER) et un compte d’épargne libre d’impôt (CELI) à leurs amis. Cette proportion s’élève à 58 % chez les Québécois et 59 % chez les Ontariens.

À l’échelle régionale, les résidents de l’Alberta (21 %) sont plus susceptibles de décrire leurs connaissances en matière de placements comme étant exceptionnelles ou excellentes, comparativement aux résidents du Québec (9 %) et des provinces de l’Atlantique (6 %).

Près de trois Québécois sur 10 (30 %) indiquent que le fait de s’inquiéter de leurs finances les empêche de dormir la nuit.

On constate également que chez les Canadiens âgés de 18 à 34 ans, 31 % affirment que le fait de penser à combien ils auront besoin pour leur retraite les empêche de dormir.

Par ailleurs, 36 % des Canadiens affirment qu’ils hésitent à investir en ce moment en raison de l’augmentation des cas du variant Omicron.

Les principales questions qui empêchent les Canadiens de dormir sont les suivantes : combien auront-ils besoin pour leur retraite (21 %), comment feront-ils fructifier leurs placements (17 %) et par où commencer (11 %).

Les outils Conseiller en sommeil de la Banque Scotia peuvent aider les clients sur diverses questions financières, regroupées dans les trois grandes catégories suivantes :

  1. Démarrer – Obtenir des guides détaillés pour la planification financière, les placements, l’élaboration d’un budget et plus encore.
  2. Planification pour les événements de la vie – Trouver les bons conseils financiers pour l’étape de vie où ils sont (prendre sa retraite, devenir parent, lancer une entreprise).
  3. Services bancaires 101 – Se familiariser avec les opérations et produits bancaires courants auprès des experts de la Banque Scotia.

Méthodologie

Ces résultats ont été recueillis dans le cadre de deux sondages nationaux menés récemment par Maru Public Opinion – l’un auprès de 1 510 personnes (12-13 octobre 2021) et l’autre auprès de 1 513 personnes (7 janvier 2022) choisies auprès d’un échantillon aléatoire parmi les adultes canadiens. Les résultats ont été pondérés en fonction de l’éducation, de l’âge, du sexe et de la région (et au Québec, de la langue) afin de correspondre à la population, selon les données du recensement. Les écarts dans ou entre les totaux sont dus à l’arrondissement des chiffres. Les résultats détaillés peuvent être consultés à Canadian Public Opinion Polls | Maru Group.