Photo couverture: Blue Lagoon en Islande, la principale source d’inspiration pour le projet.
Source : Adobe Stock
Le village hôtelier LaMetsa.ca de Sainte-Adèle annonce l’intégration d’une attraction touristique unique à son projet : un « géoLAGON ». Inspiré par le légendaire Blue Lagoon islandais, ce véritable petit lac, qui sera chauffé en permanence à 38 degrés Celsius grâce à un système perfectionné de géothermie, fera l’objet ce printemps d’une demande de permis auprès du service d’urbanisme de la municipalité de Sainte-Adèle.
La spectaculaire attraction s’intégrera parfaitement dans le village hôtelier LaMetsa.ca, situé sur un terrain de 6 millions de pieds carrés près de Saint-Sauveur entre le Sommet Olympia, le Club de golf Piedmont et le Parc linéaire le P’tit Train du Nord. Ce territoire, à seulement 50 km de Laval, traversé par de multiples sentiers qui seront préservés, est l’un des rares d’une telle dimension dans les Basses-Laurentides à être déjà zoné pour l’hébergement touristique et les attractions extérieures. L’accès à La Metsä et au géoLagon se fera par la rue Rolland en bordure de la rivière du Nord grâce à un chemin privé qui traverse les terrains de l’ancienne usine La Rolland sise au 2685 rue Rolland à Sainte-Adèle.
C’est avec un vif enthousiasme que le développeur touristique Louis Massicotte, président-propriétaire du Village hôtelier LaMetsa.ca a le plaisir de dévoiler un projet d’investissement privé de 164 M$ qui mise sur l’hôtellerie du futur basée sur le modèle traditionnel jumelé aux plateformes de location à court terme. Ce projet mise également sur une attraction unique qui pourrait contribuer à redéfinir l’ADN touristique des Basses-Laurentides et même du Québec pour préparer la relance post-COVID. Grâce aux technologies avancées de géothermie, le géoLAGON de LaMetsa.ca prendrait place en forêt à l’image d’un véritable petit lac d’une dimension prévue de plus de 100 000 pi2 dont la température serait maintenue en permanence à 38ºC, permettant aux baigneurs une expérience hors du commun à ciel ouvert, le jour et le soir, 365 jours par année. À titre de comparaison, le nouveau géoLAGON de Sainte-Adèle représenterait 6 fois la dimension d’une patinoire de la LNH, comme celle du Centre Bell. Il est prévu que la structure du géoLAGON intègre des accès intérieurs chauffés pour entrer et sortir de l’eau en tout confort.
Une analyse préliminaire des coûts est en cours en collaboration avec divers experts de Stantec pour l’élaboration de ce lagon à énergie renouvelable, incluant les méthodes probables d’approvisionnement en eau et de branchement aux services d’égouts. Cette étude s’intégrera aux diverses étapes qui concernent les demandes de permis auprès du service d’urbanisme de Sainte-Adèle. Toutefois, les terrains sont déjà zonés pour les attractions touristiques extérieures et il appert qu’aucune demande de dérogation ne serait nécessaire. Ce lagon représenterait le plus important chantier de géothermie au Québec. L’expertise est assurément disponible au Québec pour réaliser un projet de lagon géothermique : par exemple, les équipes de Puits Bernier ont notamment déjà réalisé la construction de nombreux puits de géothermie à circuit fermé pour alimenter la chaufferie de plusieurs établissements tels que des hôpitaux, des écoles ou des grands immeubles. L’étude confirmera diverses hypothèses et révélera la meilleure méthode de construction et le nombre de puits géothermiques à prévoir.
Le Québec et Sainte-Adèle se distingueraient ainsi à l’échelle nord-américaine avec le tout premier lagon géothermique artificiel en Amérique. Ce petit lac serait ceinturé d’une centaine de chalets hôteliers doubles dont la prévente s’amorce dès maintenant auprès des investisseurs sur le site web LaMetsa.ca au prix de lancement de 990 000$ à 1.1 M$ pour deux chalets annexés. Le budget préliminaire de construction de la structure du géoLAGON se chiffre à 12 M$. En y incluant les 100 chalets doubles « riverains », le projet totalise plus de 112 M$.
« En Finlande, le mot Metsä signifie «forestier» et c’est précisément ce qui désigne le mieux notre projet de chalets et de lagon scandinaves, déclare Louis Massicotte. Notre géoLAGON sera une oasis de détente dans le calme et la beauté d’une forêt valorisée par un village hôtelier selon une approche écoresponsable nommée « Growing Greener » qui vise à préserver près de 90% des espaces forestiers. Nous avons choisi Sainte-Adèle pour créer ce premier lagon et nous ciblons déjà la région de Québec et l’Estrie pour d’autres lagons. Nous sommes particulièrement à la recherche de terrains qui sont déjà zonés pour l’hébergement touristique et les attractions, près de grands centres touristiques pour dupliquer notre modèle » ajoute-t-il.
Fait unique, le village hôtelier LaMetsa.ca interdira la circulation automobile à essence dans sa forêt, sauf pour les gens qui y dormiront. Aucun stationnement des visiteurs n’y sera construit, puisque des stationnements satellites déjà existants seront prévus dans les environs avec un service de navettes électriques. Le plan de La Metsä repose sur le respect et la mise en valeur de sa forêt dédiée depuis longtemps au tourisme.
« Nous voulons que cette forêt soit à l’image d’un temple naturel. Ce serait dommage d’abattre des arbres pour construire de vastes stationnements en asphalte. Autour de notre site, plusieurs stationnements d’attractions touristiques d’hiver sont fermés l’été et plusieurs attractions d’été sont fermées l’hiver. Il sera simple et judicieux de les louer pour nos visiteurs afin de préserver la nature » précise Louis Massicotte.
« Les investisseurs ont vraiment répondu à l’appel de LaMetsa.ca. Si le marché des ventes de propriétés récréatives continue d’être aussi favorable qu’en 2021, nous avons bon espoir de pré-vendre la totalité de nos chalets doubles en forêt avant le mois de juin et d’obtenir des pré-réservations pour une large part des 100 chalets doubles riverains pour le début de 2023. Avec de telles hypothèses, il est raisonnable de croire que la construction de notre village vacances forestier et son lagon débuterait dans le second semestre de 2022, selon les délais d’obtention des permis » ajoute Louis Massicotte.
La région des Laurentides démontre une popularité d’exception depuis longtemps. On y observe depuis 10 ans une augmentation continue de sa population. En 2021, elle est en tête au Québec pour la migration interrégionale selon l’Institut de la statistique du Québec***, ce qui laisse présager un bassin de plus en plus intéressant d’employés potentiels pour les entreprises émergentes. Ce statut de région vedette du Québec contribue évidemment à en faire une destination touristique de plus en plus prisée des Québécois.