La soirée électro FEQ fait toujours fureur et cette année n’y a pas fait exception. Malgré un changement de programmation de dernières minutes, les milliers de festivaliers présents ont eu droit à une marée de hits remixée par quatre dj, dont Marshmello, pour leur permettre de danser toutes la soirée.
Le rêve d’un gars d’ici
La toute première partie de la soirée était assuré par un DJ d’ici: Millimetrik. Il a réalisé un rêve de carrière en montant sur l’iconique scène Bell des plaines d’Abraham. « Si vous saviez ce que ça veut dire pour un gars d’ici de jouer sur cette f*cking scène », a-t-il lancé après deux chansons. Il a offert le spectacle de sa vie alliant percussions, danseurs et invités. Dominic Pelletier et Liana se sont joint à lui pour pousser la note sur certaines de leurs collaborations et aussi une nouveauté qui verra le jour dans la prochaine année. Le chanteur de Caravane s’est même offert un bain de foule, fidèle à lui-même, pour commencer la soirée.
Un changement d’horaire
Un changement de dernière minute est venu bouleversé l’horaire de la soirée électro. En effet, Alison Wonderland a dû annuler sa présence pour des raisons de santé. C’est finalement le duo Snakehips qui s’est ajouté à la programmation, laissant Oliver Heldens réchauffer la foule avant le gros nom de la soirée. Ce dernier n’a d’ailleurs pas hésité à jongler avec les grands hits de différentes époques pour réchauffer les hanches des festivaliers: Dance Monkey, Gimme a man after Midnght, Another Brick in the Wall et Don’t stop the Music sont, entres autres, des chansons qui ont raisonnées sur les plaines d’Abraham mercredi soir.
Marshmello, le clou de la soirée
Le populaire Dj américain n’a offert rien de moins que 90 minutes de musique, sans pause, à ses fans présents mercredi soir. Sa performance a mélangé ses propres succès à des chansons populaires. Fidèles à la soirée électro, les effets pyrotechniques étaient bien présents au grand bonheur des spectateurs. Flammes et jets d’air ont jailli de la scène dès le début de la soirée et n’ont pas cessé jusqu’à la fin. Même caché sous son masque, Marshmello a tout de même su divertir le public par son non-verbal et ses nombreuses interactions.
Une chose est certaine, la passion pour la musique électronique n’est pas épuisée à Québec.