Si vous êtes comme moi, vous avez certainement dans la tête le refrain de la chanson de Chloé Leclerc: J’te pointe la porte d’un doigt d’honneur. C’est avec plaisir que nous découvrons donc son album Défaire les noeuds. Nous l’avons reçu en entrevue pour discuter de cette parution.

Ton premier album s’intitule Défaire les noeuds. Pourquoi ce titre?

Habituellement, un album a le nom d’une des chansons de l’album mais ce n’est pas le cas… Je ne trouvais pas la chanson qui regroupait toutes celles de mon album. C’est mon réalisateur qui m’a fait remarqué que la plupart des chansons de mon album évoque le fait de défaire les noeuds. Ça m’interpellait et c’est quelque chose que je veux partager comme message aussi donc c’est devenu une évidence.

Tu viens de l’évoquer, tu souhaites faire passer le message de de défaire les noeuds. Est-ce que tu veux en faire passer d’autres avec ton album?

Je veux partager un message de bien-être. Je souhaite mettre cartes sur table et que les gens sachent réellement qui est Chloé Leclerc, autant l’artiste que la femme. Je crois aussi que les gens vont se reconnaitre dans mes chansons.

Dans ces 13 chansons, on retrouve J’te pointe la porte (d’un doigt d’honneur) qui connait un très bon succès depuis sa sortie. Comment réagis-tu face à ce dernier?

C’est inattendu mais très espéré! Au fil du temps, je me suis créé un mécanisme de défense: j’attends rien pour ne pas être déçue. Cette réponse du public est la preuve que c’était la bonne décision de consacrer plus de temps à ma musique et ça me dit que je suis à la bonne place. Je suis réellement sur un nuage de magie!

Tu t’accompagnes de piano ou de guitare. Je suis curieuse de savoir quel est le premier art musical qui est arrivé dans ta vie: piano, chant ou guitare?

Tu vas rire, mais c’est la danse qui est arrivée en premier. Mes parents m’avaient inscrite à des cours lorsque j’étais plus jeune et ça m’a donner la piqûre de la scène. Le chant est venu après… Enfant, j’étais celle qui faisait des spectacles sans arrêt dans les partys familials. Dans ce temps-là, c’était plus des « pestacles ». (rires) Ensuite, ça été la guitare vers 8-9 ans et après le piano à 13 ans. Au début, je trouvais ça plus facile de composer avec mon piano mais après ça été avec ma guitare.

Est-ce que tu crois qu’une tournée de Défaire les noeuds est possible?

J’aimerais ça! Je crois que toutes les dates méritent d’être célébrées. Le calendrier est ouvert et nous avons déjà des dates de planifiées mais je ne peux pas en dire plus car rien est annoncé.

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