Le nouvel album de Gerry Gareau, La pédale dans l’fond, est désormais disponible sur toutes les plateformes. À la suite de son spectacle-lancement du 16 janvier dernier, je me suis entretenue avec l’artiste pour discuter des souhaits qu’il a pour le futur et évidemment, de son album.

Le 16 janvier dernier avait lieu votre spectacle-lancement. Comment ça s’est passé?

Ça très bien été! C’était dans un bar de Montréal à la Nashville: Bottes & Whiskey. Il y avait autant d’étrangers que de personnes de mon entourage.

Où avez-vous trouvé l’inspiration pour votre album La pédale dans l’fond?

J’ai toujours écrit. Je suis bilingue, depuis 20 ans je suis au Québec mais avant j’étais en Saskatchewan. Je voulais faire un album country, country moderne en français. Ça débuté comme ça… Si j’évoque la chanson, La pédale dans l’fond, celle-ci c’est une de mes chansons que j’avais écrite en anglais et que j’ai traduite. Pour Mon coeur est dans mon camion je l’ai co-écrite avec mon fils. Les gens ont une bonne réponse vis-à-vis mes chansons. En général, je prends mon inspiration avec l’idée de vivre la vie tout simplement sans se poser trop de questions.

Vous venez d’en parler un peu, votre style est décrit comme l’union du country traditionnel à des influences modernes. D’où provient ce mélange?

Je dirais que c’est naturel. Avant, je n’étais pas dans le country mais quand je me suis mis à en écouter, j’ai eu envie d’en faire. J’alterne entre du country et du pop country. Pour moi, ce qui est intéressant c’est ce qui est un défi.

Si une personne vous découvre en ce moment, quelle chanson de votre album vous lui conseillerez d’écouter en premier?

C’est un peu subjectif par rapport à eux, à ce qu’ils aiment mais moi, je dirais Tout c’que j’aime entendre. Je trouve que ma conjointe, Caroline Nadeau, et moi avons bien réussi au niveau des paroles. Ça évoque les sons qui font partie de notre quotidien qui peuvent devenir agressants après une semaine de travail et les sons qu’on aime entendre comme la voix de notre conjoint(e).

Pour terminer, est-ce que vous avez des souhaits pour le futur?

C’est certain que j’aimerais jouer plus souvent au Québec, faire des festivals. Je voudrais être plus dans le côté « live » de la musique, en ce moment, je suis plus du côté radio. 

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