Visage déjà très connu du grand public, Marieme est enfin de retour sur la scène musicale alors qu’elle présente aujourd’hui Brûler les ponts, tout premier single d’un album à paraître cette année. Pour l’occasion, l’artiste sénégalo-québécoise  collabore à nouveau avec le rappeur de renom Souldia pour dénoncer ceux qui divisent pour mieux régner ; ceux qui plutôt que construire et entretenir des liens, brûlent des ponts et creusent le fossé.

« En ces temps difficiles, il est impératif de s’unir, de se tenir, de dénoncer et de crier la vérité haut et fort pour un monde plus juste, pour un monde meilleur. »

Propulsé par un beat de Farfadet, appuyé par Benny Adam, Gary Wide, RealMind, Lou Bélanger, Tom Lapointe et Claude Bégin, la Belle et la Bête s’époumonent sur cet instrumental monstrueux et créent par le fait même un morceau qui s’élèvera certainement au rang de classique du Hip Hop d’ici.

Pour l’occasion, Marieme accompagne d’ailleurs son nouveau single d’un captivant vidéoclip. Souldia et elle nous plongent sans retenue dans un véritable film d’action à la James Bond ; quelque part entre le mystère, les soirées mondaines luxueuses, les casinos et la criminalité. Des images léchées signées Usef Naït qui seront présentées en Première sur YouTube à compter de 11h.

Le nouvel extrait de Marieme, Brûler les ponts feat. Souldia, est quant à lieu disponible partout dès maintenant.

À PROPOS DE MARIEME

Pionnière de la scène Hip Hop québécoise, Marieme fait ses premières armes dans le milieu dès son adolescence aux côtés de son frère, le rappeur et historien Webster. Elle enchaîne ensuite les collaborations avec de nombreux artistes de renoms dont Taktika, Samian, CEA, Farfadet et Souldia.

Au fil des années, Marieme partage son temps entre la production, l’animation télé, le studio et la scène. Autant devant que derrière la caméra, l’artiste sénégalo-québécoise fait rayonner sa culture, en mettant toujours de l’avant avec fierté qui elle est c’est-à-dire une femme métisse issue d’un quartier populaire qui s’est donné comme mission de représenter la culture urbaine et les jeunes issus des communautés culturelles.

Après nous avoir offert un premier album éponyme « Marieme » en 2011, « Petit Tonnerre » en 2013 et le EP « Jusqu’à l’aube » paru en 2016,