Tu as aimé la première saison de Si on s’aimait encore? Dans ce cas, tu seras ravi d’apprendre que la deuxième saison débute ce soir sur les ondes de TVA à 19h, et ce, du lundi au jeudi. Pour l’occasion, je me suis entretenue avec celle qui suivra à nouveau les couples lors de cette saison: Louise Sigouin, experte en accompagnement relationnel.

Dès aujourd’hui, la deuxième saison de Si on s’aimait encore sera diffusée. Pour ceux qui ont écouté la première saison, est-ce qu’on peut s’attendre au même concept ou ce sera différent?

C’est le même principe mais avec de nouveaux couples donc aussi de nouveaux enjeux tels que l’infidélité et l’anxiété.

Justement, les quatre nouveaux couples que nous verrons évoluer à l’écran, comment s’est déroulé le processus de sélection pour arriver au choix final?

Je ne fais pas partie du processus de sélection, c’est vraiment l’équipe de production qui s’en occupe.

Les couples choisis sont très diversifiés, autant au niveau de leur âge (des jeunes de 29 ans, des plus âgés de 70 ans et plus, en passant par la trentaine/quarantaine) qu’au niveau de leur relation (en couple depuis près de 20 ans ou depuis moins de 5 ans). Avec cette diversification, est-ce que vous remarquez des notions qui reviennent chez les couples?

Oui, dans le fond, c’est le même contenu: deux personnes qui s’aiment et qui viennent chercher de l’aide. Il y a des différences, exemple, certains ont des enfants, d’autres non. Ils arrivent tous avec un bagage personnel propre à chacun aussi. C’est un cheminement personnel qu’ils viennent chercher.

Qu’est-ce qui vous plaît dans ce concept pour revenir une autre saison? En même temps que c’est très près d’une rencontre habituelle que vous vivez avec votre métier, autant que c’est différent de par les caméras.

Ça été mon défi au début: oublier les caméras. Ça été un défi aussi pour les candidats! Nous avons tous réussi. Ce que j’aime c’est de voir les candidats décider de se lancer dans cette aventure. Ils sont courageux. C’est un accès direct dans leur vie privée, leur vulnérabilité. C’est exigeant, car en plus des rencontres filmées, ils continuent leur vie, leur travail. Ils ont toute mon admiration.

Aimeriez-vous que Si on s’aimait encore perdure dans le temps et revienne année après année?

Oui, j’aimerais que l’émission reste très très très longtemps. Je le souhaite pour les impacts que ça apportent au public. Ça des retombés sur eux. J’aide quatre couples mais les personnes qui nous écoutent peuvent se sentir interpellées et ça les aident au travers. C’est bénéfique ! J’aime croire que je peux aider une personne au travers Si on s’aimait encore qui n’a pas les moyens ou le courage de venir chercher de l’aide.

La deuxième saison de Si on s'aimait encore est à ne pas manquer. 
Lundi au jeudi,
19h, 
TVA.