Sur la photo : le Blue Lagoon d’Islande

Un geoLAGON et 300 chalets locatifs doubles seront construits à Petite-Rivière-Saint-François, à proximité du Massif de Charlevoix et du Club Med!

Le développeur touristique Louis Massicotte confirme un projet d’investissement privé de 300 M$ pour construire, à Petite-Rivière-Saint-François, trois projets successifs qui misent sur les énergies renouvelables et qui seront toujours desservis au besoin par un complément électrique :

Soleils Village : un village en copropriété de 150 résidences doubles de type Airbnb (300 portes) propulsées entre autres à l’énergie solaire et permettant aux propriétaires d’y résider tout en opérant une porte en location à court terme. Inspiré par la commune italienne de Palmanova (plan ennéagonal) et par le Brøndby Haveby au Danemark, ce village solaire est constitué de ronds-points en forme de soleil et il représente des investissements de 122.85 M$. Ce type d’acquisition peut généralement se faire à partir de 5% de comptant, sans surenchère. Les acquéreurs peuvent déjà réserver l’achat d’un terrain double en copropriété dans un plan d’implantation préliminaire. Il n’y en aura que 150. Et ils devront ensuite commander une maison double créée pour Soleils Village auprès de Laprise.

Sur les photos : le Blue Lagoon d’Islande et une vue aérienne simulée d’un rond-point de Soleils Village.
GeoLAGON : la deuxième étape représente la construction d’un vaste lagon géothermique de 120 000 pieds carrés à ciel ouvert chauffé douze mois par année à 38°C, grâce à un écosystème d’énergie renouvelable incluant la géothermie, le solaire et la biomasse. Le coût de construction estimé s’élève à 18 M$ et elle débutera dès que les 150 habitations de Soleils Village auront été vendues, conditionnellement à l’obtention des permis. Le geoLAGON est un bassin de baignade construit selon une méthode de piscine traditionnelle sans aucun rejet dans l’environnement. Le geoLAGON est inspiré du célèbre Blue Lagoon (un bassin artificiel de 91 000 pieds carrés nommé parmi les 25 merveilles du monde selon National Geographic) et du nouveau Sky Lagoon en Islande, tous deux propulsés grâce à la géothermie et à l’électricité. La création québécoise geoLAGON misera quant à elle sur un ingénieux modèle d’énergies autosuffisantes qui vise à terme un coût neutre (net zéro) pour le chauffage du lagon et des chalets intégrés au Lagon Village. geoLAGON bénéficie d’un brevet provisoire déposé au bureau des brevets de Washington par son inventeur Louis Massicotte qui opérera lui-même le geoLAGON dans une compagnie indépendante des villages de chalets. geoLAGON sera une attraction aquatique détenue et opérée à 100% par des intérêts québécois.
Sur la photo : le Blue Lagoon d’Islande

• Lagon Village : finalement, la troisième étape du projet est la construction d’un village de type Airbnb de 300 portes en bordure du lagon (150 chalets doubles), toutes propulsées à l’énergie solaire et à la géothermie permettant aux investisseurs-propriétaires d’y opérer la location à court terme 365 jours par année grâce à un zonage spécifique. Il s’agit d’un investissement de 159.5 M$. Grâce à un écosystème unique, le geoLAGONchauffera et climatisera les chalets pendant que l’énergie solaire des chalets pourra contribuer à chauffer le geoLAGON et ses pavillons de services. Ce type d’acquisition en copropriété peut généralement se faire à partir de 35% de comptant, sans surenchère.

UN SITE VEDETTE À 45 MINUTES DE QUÉBEC
Le site dévoilé aujourd’hui se trouve à 4 minutes de l’entrée du Massif de Charlevoix sur la 138, face à l’intersection de la rue Principale qui mène au Club Med Québec Charlevoix. Le geoLAGON, d’une superficie de près de 120 000 pieds carrés, sera le plus grand lagon géothermique au monde et il deviendra ainsi une destination incontournable à quelques minutes des boutiques, des galeries d’art et des restaurants de Baie-Saint-Paul. Cette attraction attirera à la fois les Québécois et les touristes en visite à Québec au bénéfice de Charlevoix. M. Massicotte prévoit tenir une séance d’information prochainement, en collaboration avec le conseil municipal, pour les citoyens de Petite-Rivière-Saint-François afin de leur communiquer les détails du projet global.

« Nous sommes très heureux de voir la réaction des Québécois face à notre concept breveté de geoLAGON qui constitue l’attraction complémentaire idéale pour les régions qui bénéficient de la présence d’une station de ski. Un sondage Léger a confirmé que 56% des adultes au Québec souhaitent louer un chalet et visiter un geoLAGON. Il s’agit donc de plus de 5 millions de Québécois qui aiment déjà notre attraction! Notre site de Petite-Rivière-Saint-François, à 45 minutes de Québec, profite déjà d’un zonage compatible à notre projet. Le choix de Petite-Rivière constitue pour nous un coup de circuit, car c’est le lieu de prédilection des investisseurs du marché de villégiature de l’Est du Québec. Notre projet aura des retombées économiques de 100 M$ par année dans la région et nous offrirons de bons emplois », déclare Louis Massicotte, le président-fondateur du réseau geoLAGON qui est aussi l’ex-président de Village Vacances Valcartier, Hôtel de Glace et Calypso Park.

Selon le classement RSVP Chalets 2021, c’est Charlevoix qui demeure le secteur où les chalets génèrent les prix moyens de location les plus élevés au Québec, que ce soit pour une location d’une semaine entière ou même d’un week-end. Ces records de revenus s’appliquent autant en basse saison qu’en haute saison.

Sur la photo : les chalets Laprise de Soleils Village
MISE DE FONDS À PARTIR DE 5%
Soleils Village : à Petite-Rivière-Saint-François, la première phase de 150 chalets doubles conçus en usine par Laprise permettra en primeur, aux acquéreurs, d’habiter une porte en permanence et de louer l’autre porte sur les plateformes de leur choix en suivant les règles et tarifs du développeur. Chaque chalet double prévoit une porte communicante entre les deux unités.
Sur les photos : la commune italienne de Palmanova (plan ennéagonal) et le Brøndby Haveby au Danemark.

Inspiré par la commune italienne de Palmanova (plan ennéagonal) et par le Brøndby Haveby au Danemark, le projet Soleils Village de Petite-Rivière-Saint-François est constitué de ronds-points en forme de soleil.

Ces chalets du développement Soleils Village auront la particularité de produire de l’énergie solaire et seront disposés en ronds-points de type solaires, selon l’approche « growing greener », à proximité de la future attraction geoLAGON et ils seront desservis par des fosses septiques et des puits artésiens. Au-delà du prix d’acquisition du terrain double en copropriété à 299 000 $, les chalets sont actuellement prévus à partir d’un prix prévisionnel de 500 000 $ pour deux chalets adossés, taxes en sus. Les clients signeront une entente directement avec Maison Laprise à ce sujet. Ce prix est sujet à ajustement et il est prévu pour les 50 premiers acquéreurs. Chaque chalet double offre une très grande superficie de près de 1 800 pieds carrés (2x près de 900 pieds carrés), auquel s’ajoute en option un sous-sol de même dimension.

Globalement, il s’agit d’une formule d’accès à la propriété originale et sans surenchère, car une habitation de ce type peut généralement être financée avec une mise de fonds débutant à 5 %. Seulement 150 acquéreurs-occupants pourront loger sur le site du village.

Sur l’image : l’un des chalets Laprise de Soleils Village
L’ATTRACTION RAPIDEMENT CONSTRUITE
La seconde phase sera constituée du geoLAGON avec pavillon d’accueil, restaurants, spa et usine privée de filtration et aqueduc pour desservir les 150 chalets doubles supplémentaires du Lagon Village pour lesquels 131 acheteurs ont déjà réservé leur achat. Ces 150 chalets « urbains high-tech», préfabriqués en usine par iLand Maisons Solaires, auront un style unique avec une spectaculaire terrasse face au lagon qui se trouvera à environ 200 pieds des habitations. Ceux-ci seront entièrement dédiés à la location à court terme pour une clientèle de prestige. Ils seront ainsi construits en bordure du lagon fumant et l’objectif du projet sera de générer davantage d’énergie solaire qu’ils en consommeront, le tout s’intégrant à un écosystème de chauffage breveté impliquant des énergies renouvelables telles que la géothermie, le solaire, la biomasse et un complément électrique.Au cours de l’été, M. Massicotte dévoilera l’approche scientifique sur laquelle repose la méthode de chauffage du geoLAGON qui sera construit selon un modèle « bain-marie avec sous-réservoir » qui vise un résultat net-zéro, sans aucun rejet dans l’environnement, tout comme les lagons islandais. Des études sont en cours pour définir la meilleure équation intégrant les divers types d’énergies.

Les prix prévisionnels des terrains en copropriété et des chalets à énergie solaire en bordure du lagon sont actuellement les suivants : 619 000 $ pour un chalet simple et entre 990 000 $ et 1,1 M$ pour deux chalets reliés, selon leur emplacement et leur vue sur le geoLAGON. Les plans et styles architecturaux de ces chalets seront bientôt dévoilés. La création du lagon géothermique de Charlevoix prévoit un véritable « lac artificiel chauffé » à l’année, de plus de 7 fois la dimension d’une patinoire de la LNH, encore plus grand que le réputé Blue Lagoon en Islande (91 000 pieds carrés). Cet ajout d’un projet à énergie renouvelable près du centre de ski le Massif de Charlevoix est annoncé en vue d’une demande de permis cet automne auprès de la municipalité de Petite-Rivière-Saint- François.

Avec son Club Med, le ski, le golf à proximité, les excursions aux baleines, la nature et le pittoresque centre-ville de Baie-Saint-Paul à quelques minutes, la région de Petite-Rivière-Saint-François démontre une popularité d’exception depuis longtemps, particulièrement en matière de propriétés récréatives.

LES CRITÈRES QUI MOTIVENT CE CHOIX
Depuis le 22 février dernier, en moins de 100 jours, le projet geoLAGON a récolté des pré-réservations et inscriptions de plus de 2 500 investisseurs canadiens pour les prochains sites prévus au Québec. Après consultation auprès de ces investisseurs qui souhaitent opérer des chalets locatifs, les cinq critères qui ont été retenus pour le choix d’un site sont invariablement les mêmes :
• Proximité d’une destination touristique ou d’un centre urbain fortement peuplé dans un rayon d’environ une heure de route
• Proximité d’un centre de ski et de vélo de montagne
• Fort potentiel de demande de location court terme par des touristes du Québec et de l’étranger.
• La tendance du marché immobilier en faveur du site
• Les projections locatives de certains algorithmes tels que celui de VRBO ou de certains classements tels que RSVP Chalets

Le projet de geoLAGON mise sur une attraction aquatique unique qui pourrait contribuer à redéfinir l’ADN touristique du Québec en participant à la relance post-COVID. Grâce aux technologies avancées de géothermie, de biomasse et d’énergie solaire, le geoLAGON prendra place en forêt à l’image d’un véritable petit lac artificiel dont la température sera maintenue en permanence à 38C, permettant aux baigneurs une expérience hors du commun à ciel ouvert, le jour et le soir, 365 jours par année. Il est prévu que la structure du geoLAGON intègre des accès intérieurs chauffés pour entrer et sortir de l’eau en tout confort, avec des restaurants et un spa.

M. Massicotte insiste sur les valeurs de son groupe qui vise à ne pas dépendre des subventions pour créer un projet. Propriétaire des entreprises et du brevet d’invention par le biais de son groupe corporatif, M. Massicotte exploite les marques geoLAGON et geoLAGOON au Canada. Propulsé par l’engouement provoqué par l’annonce de la création des geoLAGON, il a créé depuis février 2022 un vaste portfolio de terrains zonés spécifiquement pour l’hébergement touristique à court terme et l’activité commerciale totalisant près de 35 M pieds carrés au pays dans des secteurs géographiques très enviables.

Un site géographique intégrant un Soleils Village, un geoLAGON et un Lagon Village exige en moyenne 3 à 5 M pieds carrés.

UN MODÈLE D’AFFAIRES INNOVATEUR : LE DÉVELOPPEMENT IMMO-VACANCIER
Louis Massicotte vise d’abord à agir comme développeur touristique, mais pour financer des attractions de calibre international, il a créé un modèle « immo-vacancier » unique dont les flux de trésorerie immobilière sont parallèlement injectés dans la construction d’attractions uniques, ce qui permet l’autofinancement de l’opération.

« Notre approche unique de développeur immo-vacancier permet aux acquéreurs de chalets et à la municipalité d’avoir une garantie de résultats et une vision globale de développement. C’est un écosystème très simple ; quand 50 % de nos terrains sont vendus, nous construisons l’attraction convenue », mentionne M. Massicotte. « Le marché hôtelier mondial est en pleine mutation avec l’émergence des plateformes proptech. Déjà, les hôtels s’affichent sur Airbnb, VRBO et d’autres sites qui permettent des séjours plus longs que ceux de l’hôtellerie traditionnelle, ce qui engendre souvent la présence souhaitable de visiteurs qui font du télétravail les jours de semaine. GeoLAGON veut agir avec avant-gardisme dans ce mouvement qui révolutionnera le tourisme et qui permet à des micro-entrepreneurs de promouvoir leur pavillon hôtelier personnel à partir de leur téléphone intelligent en s’occupant eux-mêmes de la location ou en la confiant à un service spécialisé », conclut Louis Massicotte.

Rappelons que le 22 février dernier, un projet de géoLagon a été annoncé dans les Laurentides à Sainte-Adèle. Le dossier suit donc son cours. Les études habituelles, dont celle qui évalue les différentes options de gestion des eaux usées, ont été commandées par le développeur à la demande de la municipalité et les demandes de permis suivront sous peu, dès que les rapports d’experts seront terminés.